Comme une envie de saleté ;
Que la moiteur inonde toute bienséance ;
Que jaillisse une myriade de corps dénudés,
Un méli-mélo corrompu par l’indécence.
Les mécréants ternissent la stature des meneurs,
La crasse se mêle aux effluves délicats,
Les velours soyeux s’entachent de sueur,
De longs râles fleurissent ici et là.
Les fruits exultent et pleuvent ;
Ils aspergent de leur jus l’éthique,
Et la concupiscence s’abreuve
De nos dérives extatiques. (suite…)
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