Coexister

Le printemps s’évapore, nos sentiments sont morts
Mes pensées pérorent sur l’attrait de votre corps
En ce rêve de condor, j’élève mon confort
Ressassant les efforts d’un amant qui s’ignore

Le signal des sémaphores cavale dès l’aurore
On prévient les renforts qu’un chien tache le décor
Lui dont le tort a séduit la plèbe et consorts
Ses disciples aux abords d’un périple au-dehors

Doux, mais sonore, le coup de grâce est indolore
Un destin qui corrobore cette fin de cador
L’habit bleu que j’arbore gît aux pieds des butors
Si une voix parle trop fort, c’est sa foi que l’on mord

L.P

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