Anna attend l’amant absent avec abnégation,
Arrivée aux aurores, aussi apprêtée qu’acculée,
Appréhendant l’apache à l’abri d’autrui.
Armand avance avec l’allure apaisée,
Aux abords aménagés accueillant l’ardeur d’Anna,
L’auguste Apollon attrape l’amie assidue aux appas affriolants,
L’aspergeant d’amour alors qu’agonise l’automne.
L.P